Améliorer le secours à la personne : gagner des minutes vitales

Entre un malaise cardiaque et l’arrivée des premiers secours, la réduction du temps d’intervention est un facteur de survie primordial. Dans de nombreux cas, gagner quelques minutes pour les sauveteurs permet de sauver des vies. Des campagnes de prévention visent à former aux gestes qui sauvent ou à multiplier l’installation de défibrillateurs, mais qu’en est-il d’une intervention dans un bâtiment ? Un immeuble d’habitation protégé par une porte à code peut devenir un obstacle pour les sapeurs-pompiers ou les secouristes lorsque les circonstances sont défavorables. Or, chaque minute gagnée augmente de 10% les chances de survie de la victime(¹). L’application BatiFire permet d’accélérer et d’améliorer le secours à la personne en facilitant l’intervention dans les bâtiments et immeubles.

Cas de la vie courante qui compliquent l’intervention des premiers secours

Aujourd’hui, la plupart des immeubles d’habitation possèdent une porte avec digicode et la fonction de concierge a tendance à disparaître. Il devient alors facile d’imaginer qu’une intervention des sauveteurs peut être ralentie faute d’accès rapide aux victimes. On peut également constater que pendant le week-end ou durant l’été, la présence dans les logements est réduite. Enfin, en soirée ou dans la nuit, la réaction des occupants peut être ralentie ou complètement absente. Ces scénarios assez fréquents impliquent que lorsqu’un pompier ou un secouriste sonne à un interphone, il n’a pas toujours la réponse rapide dont il a besoin. On comprend alors que prodiguer les premiers soins le plus rapidement possible peut s’avérer difficile.

Aujourd’hui, la plupart des immeubles d’habitation possèdent une porte avec digicode et la fonction de concierge a tendance à disparaître. Il devient alors facile d’imaginer qu’une intervention des sauveteurs peut être ralentie faute d’accès rapide aux victimes. On peut également constater que pendant le week-end ou durant l’été, la présence dans les logements est réduite. Enfin, en soirée ou dans la nuit, la réaction des occupants peut être ralentie ou complètement absente. Ces scénarios assez fréquents impliquent que lorsqu’un pompier ou un secouriste sonne à un interphone, il n’a pas toujours la réponse rapide dont il a besoin. On comprend alors que prodiguer les premiers soins le plus rapidement possible peut s’avérer difficile.

Comment gagner quelques minutes peut aider à sauver des vies

Parmi les urgences réclamant une intervention rapide comme les brûlures, les hémorragies ou les malaises, l’arrêt cardiaque est un exemple d’accident pour lequel les minutes comptent. En effet, toute minute écoulée sans massage cardiaque réduit les chances de survie de 10 % et 15 minutes après un arrêt cardio-respiratoire, les chances de survie sont nulles. Or presque 80 % des arrêts cardiaques surviennent à domicile.(²)
Ainsi, la réduction du temps d’intervention à domicile de 5 minutes peut sauver la vie d’une victime d’un malaise cardiaque. Pour des sapeurs-pompiers devant aller porter secours à la victime d’un arrêt cardiaque, la diminution des obstacles est donc un facteur vital. L’accès au logement doit être facilité, les sauveteurs ne peuvent pas perdre de longues minutes à fracturer des portes ou à essayer d’obtenir des réponses de voisins.

 

 

Comment BatiFire permet d’améliorer le secours à la personne

Lorsque le véhicule de secours des sapeurs-pompiers est en route, le temps d’intervention peut être mis à profit pour prendre connaissance d’informations vitales grâce à BatiFire. Cette application gratuite mise à disposition à la fois des services de secours et des propriétaires de bâtiments permet d’accéder à distance à des données essentielles. Numéro du concierge, personnes à contacter, code d’entrée, plan du bâtiment, issues de secours sont autant d’éléments qui peuvent permettre aux secours de gagner des minutes précieuses. Entre un malaise cardiaque et l’arrivée des premiers secours, la réduction du temps d’intervention est un facteur de survie primordial. Dans de nombreux cas, gagner quelques minutes pour les sauveteurs permet de sauver des vies. Des campagnes de prévention visent à former aux gestes qui sauvent ou à multiplier l’installation de défibrillateurs, mais qu’en est-il d’une intervention dans un bâtiment ? Un immeuble d’habitation protégé par une porte à code peut devenir un obstacle pour les sapeurs-pompiers ou les secouristes lorsque les circonstances sont défavorables. Or, chaque minute gagnée augmente de 10% les chances de survie de la victime(¹). L’application BatiFire permet d’accélérer et d’améliorer le secours à la personne en facilitant l’intervention dans les bâtiments et immeubles.

BatiFire : des données protégées pouvant améliorer le secours à la personne

Il existe 2 manières d’accéder aux informations intégrées par BatiFire : la lecture d’un QR code apposé sur un bâtiment ou directement par la fonction “recherche” de l’application. Dans les 2 cas, l’accès est limité et protégé. Les données renseignées par les propriétaires ou les exploitants ne sont accessibles qu’aux services de secours utilisateurs de BatiFire : sapeurs-pompiers, police, gendarmerie, secouristes, SMUR, etc. Dans un immeuble d’habitation, le temps gagné accélère la réanimation ou la pose d’un garrot et sauve des vies. Gagner 5 minutes sur une intervention qui prend 15 minutes est une amélioration du secours à la personne que BatiFire veut développer gratuitement partout en France. De nombreux services de secours et de propriétaires ont déjà compris l’intérêt de cette application. Pour rejoindre ces utilisateurs, rendez-vous ici. Gagner 5 minutes sur une intervention qui prend 15 minutes permet d’améliorer le secours à la personne, et il s’agit exactement de ce que BatiFire veut développer gratuitement partout en France. De nombreux services de secours et de propriétaires ont déjà compris l’intérêt de cette application. Pour rejoindre ces utilisateurs, rendez-vous ici.  

Sources : (¹) Brochure « 1 vie = 3 gestes » de la Fédération Française de Cardiologie, (²) Rapport de l’Académie nationale de médecine

Crédit illustrations : Freepik