C’est prouvé : avec la solution digitale BatiRegistre, le gestionnaire d’un patrimoine immobilier gagnera des centaines d’heures de travail.
Grâce à l’expérience de notre bureau d’études de plusieurs années dans la gestion des registres de sécurité incendie papier, nous avons pu établir un comparatif fort intéressant.
La méthode
Nous sommes partis d’un process, fiable et éprouvé, qui a été conçu afin de cadrer exhaustivement toutes les actions essentielles dans l’objectif de disposer de registres de sécurité incendie papier irréprochables.
Nous avons estimé, sur une année, le temps nécessaire pour chaque étape. Si celle-ci était réalisée dans le cadre de registres papier puis si elle l’était avec l’aide de la solution digitale BatiRegistre.
Important : nous nous sommes focalisés uniquement sur l’intégration et l’exploitation des rapports et sur le suivi et le traitement des observations.
En effet, nous n’avons pas intégré la gestion des formations, l’intégration des dossiers d’aménagements et de tous les autres documents obligatoires dans un registre (Cf. article sur le contenu du registre de sécurité).
Cette approche est pessimiste, comme cela est indiqué dans les postulats suivants.
Les postulats
- Il s’agit d’un patrimoine moyen de 30 établissements sur une zone géographique réduite à la taille d’une commune. Ce qui est encore pessimiste car il y a peu de temps de déplacement.
- Il est compté 4 déplacements annuels sur site dans le cadre des actions liées à la sécurité d’un établissement (intégration des rapports, constats, attestations, réceptions, sensibilisations, etc.). À noter que la communication de l’information entre le responsable de la sécurité et le chef d’établissement nécessitera en moyenne 2 déplacements par an.
- Certains déplacements ont été mutualisés. En effet, nous considérons que le responsable bâtiment regroupera ses déplacements pour réaliser certaines actions.
- Pas de consultation d’entreprise. S’il y en a, ce serait le même temps dans les 2 cas, papier ou dématérialisé.
- Chaque action (création d’un rapport, saisie de ses observations, création d’un bon d’intervention) est indépendante l’une de l’autre et est réalisée lors d’une connexion spécifique (cas défavorable car ce sera rarement le cas). Le temps estimé prend donc en compte à chaque fois la connexion à la plateforme BatiRegistre.
- Le temps passé à la création d’un rapport et à l’ajout des observations n’est pas comptabilisé 300 fois (pour 10 rapports de 30 établissements) car cette action est réalisée plus rapidement quand elle est regroupée (ajout de plusieurs rapports de plusieurs établissements en 1 bloc). Le temps passé est multiplié par 8 pour 10 rapports et par 25 pour 30 établissements.
- Il n’est pas compté de déplacement dans le cadre des travaux (suivi, constatation) car ces déplacements ne varient pas entre le fonctionnement « papier » ou « dématérialisé ».
Le résultat
Il est spectaculaire.
Sur la réception et le traitement des rapports d’un patrimoine de 30 établissements nous gagnons 115 heures.
Sur le traitement des réserves, la différence est encore plus marquée.
Au final, nous estimons que le temps gagné sur une année est de : 57 jours – 133 jours pour la gestion papier et 76 jours pour la gestion digitale.
Cela représente 400 heures.
Si nous estimons qu’une heure coûte 35 euros, alors l’économie est de 14 000 €.
L’abonnement moyen à BatiRegistre pour un tel patrimoine s’élève à 3600 € HT. Le calcul est vite fait, n’est-ce pas ?
Effectuer une économie financière conséquente tout en gommant les défauts du papier – détérioration, perte ou vol, effet « fourre-tout », pas de réglementation intégrée,… – c’est cela que propose BatiRegistre.
Dernière précision
Nous n’évoquons ici que la sécurité incendie. Car il ne faut pas oublier que la démonstration s’applique aux autres domaines techniques et/ou réglementaires pouvant être gérés sur BatiRegistre : l’amiante, l’accessibilité PSH, le document unique, les règles ICPE, etc.